Que nous le voulions ou non, le COVID est une maladie de la pauvreté, de l’impuissance, des inégalités et de l’injustice – une maladie des personnes défavorisées – qui s’enracine dans les communautés les plus pauvres. Nous ne pouvons nous débarrasser de la COVID que si nous réagissons ensemble.

Dr David Nabarro – Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies sur le COVID-19

Il est essentiel de réagir ensemble pour surmonter la crise sociale, économique et sanitaire provoquée par la pandémie de COVID. Les rapports Leave No Woman Behind étudient les dynamiques régionales et thématiques qui perpétuent les discriminations multiples à l’égard des femmes, mais proposent également des solutions politiques.

• Le rapport global (résumé) en anglais, condensé en 10 pages seulement, offre le moins de détails mais une solide compréhension globale de la série complète de 6 parties.
• Le rapport global en anglais complet de 88 pages combine les 4 chapitres mentionnés ci-dessus, ainsi qu’un long résumé exécutif, précédé du message du directeur du GCAP.
• L’aperçu global en anglais est le premier des quatre chapitres (1/4) du rapport global. La publication fournit sur 26 pages un excellent compte-rendu détaillé des défis généraux que la pandémie mondiale représente pour les femmes confrontées à des discriminations multiples, comme les personnes âgées ou les femmes migrantes.
• La femme CDWD (Communautés victimes de discrimination fondée sur le travail et l’ascendance – CDWD – en utilisant l’acronyme anglais) est le deuxième chapitre (2/4) des rapports mondiaux. Sur 26 pages et en anglais, le rapport examine le sort des femmes CDWD en Asie du Sud, en Europe et en Amérique latine.
• La femme handicapée en Afrique est disponible en français, fait exactement ce que le titre suggère sur 22 pages et constitue le troisième chapitre du rapport global (3/4).
• La femme autochtone en Asie est une enquête complète en anglais sur les causes directes de la pandémie, telles que les barrières linguistiques pour informer les communautés autochtones, l’accaparement des terres et la violence sexiste, entre autres sujets étudiés. Le troisième chapitre (4/4) se termine par des recommandations qui reprennent la structure des sections précédentes.

L’objectif du projet Leave No Woman Behind est que les femmes confrontées à de multiples discriminations, à l’exploitation, aux abus et/ou à la violence prennent part aux processus nationaux et mondiaux pour protéger leurs droits et œuvrer à la mise en œuvre des Objectifs de développement durable (ODD) afin qu’aucune femme ne soit laissée pour compte. Dans la première phase, le projet travaille principalement avec des femmes et des filles handicapées.

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